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Epilogue d’idéOnet

     
  Le développement d’internet est très rapide, de 50 millions de pages en 1997 on est passé à 2,5 milliards en 2002, il y a 7 millions de documents supplémentaires par jour.

Internet présenté comme une révolution aurait pour avantage de réduire les inégalités entre les pays, les régions mais aussi les inégalités sociales et de faciliter l’accès au savoir.

Or l’expérience montre le contraire :

  • Internet comme les mobiles sont réservés aux pays et aux gens riches, il y a environ 606 millions d’internautes (605,6 en sept. 2002, source : http://www.nua.ie/surveys ) soit 9,5 % de la population mondiale. L’essentiel de l’équipement se trouve dans les pays de la triade soit les Etats-Unis, le Canada, L’Europe de l’ouest, le Japon et la Corée .
  • L’accès au savoir est un leurre pour la majorité, en effet pour utiliser l’internet il faut savoir lire, connaître l’anglais (internet c’est 80 % d’anglais !) et avoir un niveau de formation permettant de conceptualiser, sans parler des moyens matériels.

Si internet comme les téléphones portables donnent plus de libertés, ces deux systèmes sont basés sur des réseaux, c’est à dire que tout est adressé et donc sous contrôle.

Il y a donc un danger, qui au demeurant existe déjà, que ces outils servent au flicage de la société.

Il suffit de prendre comme exemple les mobiles qui servent de plus en plus aux arrestations de délinquants.

Le contrôle que les Etats essayent d’instaurer sur le web est certainement l’annonce de sa fin en tant qu’intelligence collective.

Alors, vive l’internet marchand et à bas le communisme.

L'homme qui à écrit.

Adressage : les réseaux n’existent que grâce à la localisation des objets qui le composent.

  • Téléphone cellulaire : chaque téléphone à un numéro et est localisable par le maillage du territoire en petites cellules (antennes relais), le mobile est donc suivit à la trace d’une manière très précise à quelques mètres ou dizaines de mètres près.
  • Internet : tous les ordinateurs, tous les documents, tous les mots en hypertexte et toutes les adresses électroniques ont une adresse très précise et sont donc localisables et espionnables (comme avec les cookies).

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