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TD d'économie d'entreprise

Terminale STT / BTS

corrigé


TD APPLE 4 H


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Libération mars 1996

New York, de notre correspondant
Apple est à vendre mais ne trouve pas preneur. C'est, si l'on en croit les révélations, vendredi du Wall Street Journal, la triste réalité du fabricant du Macintosh. Ces dernières semaines encore, des négociations avancées auraient eu lieu entre les responsables de Sun Microsystems. le fabricant de stations de travail et les patrons de Apple. Elles ont, apparemment, échoué sur un désaccord sur le prix. Classique. En 1994, déjà, des discussions comparables avaient eu lieu avec IBM avant de tomber sur le même os: IBM proposait à l'époque un rachat au prix de 40 dollars l'action (200 F). Mais, à ce prix (12,5% au-dessus du cours actuel) Michael Spindler, le PDG d'Apple, n'avait pas voulu lâcher. Aujourd'hui, il revient à la charge. Il aurait frappé à la porte d' IBM en octobre - sans succès, semble-t-il - et aurait proposé de passer la main à plusieurs entreprises du secteur, dont Hewlett-Packard après Motorola, Sony ou Toshiba.
Au moment où le constructeur Informatique annonce une importante restructuration (Libération du 19 janvier) ces difficultés vont-elles finir par atteindre les consommateurs et fidèles du Mac- "Jamais, je n'abandonnerai mon Mac.- s'il n'en reste qu'un je le garderai., affirme un message parmi des dizaines d'autres reçus sur 1'l nterner où se rassemblent les fans du Macintosh. Malgré de tels actes de foi, le désarroi des quelque 20 millions d'utilisateurs de la marque à travers le monde est réel. Et constitue pour Apple un phénomène préoccupant. Comme le constate, Michael Spindler lui-même, les disciples du Mac ne suffisent plus à assurer la fortune d'Apple. "Nos résultats, écrivait-il, ne reflètent pas la force intrinsèque considérable de notre franchise, notre image de marque, notre clientèle loyale, notre incontestable avance technologique. " Bref, il ne suffit plus pour gagner d'être le meilleur- ou de le croire: quelque chose est cassé dans la machine qui avait réussi à transformer l'ordinateur en quasi-religion.
La débâcle actuelle tient à de nombreuses raisons.
La plus évidente est la difficulté croissante pour Apple et son système d'exploitation, Mac OS à lutter à la fois sur tous les marchés de l'informatique personnelle. A la différence de Microsoft et de l'armée d'auteurs de logiciels travaillant avec Windows et son dernier avatar, Windows 95. Cette donnée n'est pas nouvelle: face à IBM, en d'autres temps, Apple avait précisément démontré que David face à Goliath pouvait garder ses chances. Du coup, les critiques portent sur la stratégie et se concentrent sur Michael Springer, qu'une série de départs au sein de son état-major laissent de plus en plus seul. Cet ingénieur plutôt distant et peu chaleureux (par contraste avec ses charismatiques prédécesseurs Steve Jobs et John Sculley) affirmait, depuis sa nomination en 1993, privilégier la rationalité du management là où la culture maison faisait la part belle aux émotions et aux intuitions. Aujourd'hui, ce choix est contesté.
Première erreur. avoir fermé trop longtemps ses portes aux fabricants désireux de produire des clones de Mac, avant de les accueillir à bras ouverts pour atteindre son objectif: 20% du marché du PC pour la plate-forme Mac Os. Malgré l'arrivée l'an dernier de ces nouveaux produits, Mac Os stagne à moins de 9% du marché. Pire, elle continue de chuter.
L'an dernier, les concurrents d'Apple inondaient le marché avec la dernière génération des PC multimédia, des machines puissantes et rapides - grâce notamment su microprocesseur Pentium de Intel - souvent moins avancées techniquement que les derniers des Mac mais sensiblement moins chères. Pendant ce temps, les vendeurs d'Apple piétinaient: les moins chers des Mac étaient encore trop chers. Apple a fini par baisser ses prix. Mais, là encore, trop tard. Les marges ont fondu sans pour autant ramener les clients, Le volume des ordinateurs invendus a doublé en trois mois pour s'élever aujourd'hui à près d'un milliard de dollars (5 milliards de francs)!
A l'autre extrémité de la gamme, la catastrophe est exactement inverse. Cette fois-ci c'est le succès de l'année- les ordinateurs équipés du PowerPC, le nouveau microprocesseur mis au point par Apple en collaboration avec IBM et Motorola - qui tourne au cauchemar. Apple qui avait sous-estimé le succès potentiel de ces machines, n'en a pas produit suffisamment: ses usines étaient en rupture de stock en fin d'année et de nombreux clients se sont finalement tournés vers les fabricants de PC équipés en Intel et Windows!
II y a plus grave: pour les consommateurs, appartenir au inonde d'Apple, c'est de plus en plus appartenir à un groupe marginal. Dans les allées de CompUsa, la chaîne américaine de supermarchés de l'informatique, comme dans les magasins de logiciels ou les catalogue, spécialisés, face à Windows, les produits destinés aux utilisateurs de Macintosh sont réduits à la portion congrue. Même chose pour les CD-Rom.
On retrouve ce problème à tous les niveaux. Exemple parmi des dizaines d'autres: la banque New-York risc Chemical Bank quia démarré l'an dernier un sers i(e on line permettant à ses clients d'effectuer des opérations bancaires à domicile l'a conçu pour les seuls ordinateurs équipés de Windows, la version Mac, elle, étant promise pour le début 1996. Mais, ce projet lut-mémo a, depuis, été abandonné: "Ce sera, explique-t-on, à la banque, un.service 100% Windows.
Pas étonnant dans cette ambiance qu'au troisième trimestre, les ventes de logiciels pour Mac aient chuté par rapport à l'année précédente: -68% pour les tableurs, -62% pour les traitements de texte, -42% pour les logiciels de bases de données.
Certes, cette tendance traduit surtout la faible implantation du Mac dans les bureaux. conquis par Microsoft depuis les premières heures de MS-Dos. l.es ventes de programmes de PAO (publication assistée par ordinateur) pour Mac ont, au cours de la même période, progressé de 140%. Et sur plusieurs marchés, Apple est même un leader: dans les écoles américaines, par exemple, où 63% des ordinateurs sont des Mac et, dans l'édition où sa part de marché approche les 5017(. Enfin, environ 65% des applications multimédia et la plupart des sites Web de l' lnternet sont développées sur des Mac. Mais, à plus de 80%, ils sont destinés, au bout de la chaîne, à des propriétaires de PC équipés de Windows.
Cette percée de l'internet dans le morde du PC est, en un sens, le plus gros ratage de Apple. Pendant environ trois ans, le Mac a, en effet, été le meilleur moyen de naviguer sur le Net. Mais, au lieu d'exploiter cette avance, Apple l'a laissé filer. Et aujourd'hui alors que la mode explose, ce sont ses concurrents qui en tirent profit.
LUC LAMPRIENE


Presse-Océan août 1997

Apple en 20 ans
La mise au point d'Apple I a lieu en 1976, dans un garage de la banlieue de San Francisco. Les inventeurs, Steve Jobs (photo), 21 ans, et Steve Wozniak, 26 ans, sont respectivement ingénieurs chez Atari et chez Hewlett-Packard. Neuf mois plus tard, Apple I est présent dans dix points de vente aux Etats-Unis. Les deux ingénieurs investissent dans la production d'Apple II et Apple Computer Inc. est créée. En 1982, le milliard de dollars (environ 5 milliards de francs) de chiffre d'affaire est atteint. Aucune société d'ordinateurs personnels n'était jusqu'alors parvenue à ce résultat.
1984: la vraie révolution
La vraie révolution a lieu en 1984, avec la naissance du Macintosh, le premier ordinateur à imposer l'interface graphique et l'usage de la souris. En quatre ans, ce sont 2.286.000 Macintosh ont été vendus. Mais en 1985, Steve Jobs, débarqué par le conseil d'administration, a quitté Apple et fondé sa propre compagnie, Next Computer Inc, qui produit essentiellement des logiciels.
En octobre 1991, Apple signe des accords avec IBM et Motorola : l'objectif commun est d'établir le standard de la micro-informatique, a donné naissance en 1990 au microprocesseur PowerPC. Deux ans plus tard, Apple compte 14.000 employés dans le monde.
Power Computing est le premier constructeur de micro-ordinateur a obtenir la licence Apple pour construire des clones de Mac, en 1994. Mais en 1995, avec son interface graphique Windows, qui apporte aux PC une simplicité et une convivialité jusqu'alors revendiquée exclusivement par Apple, Microsoft devient un concurrent redoutable. Apple se heurte alors à de sérieuses difficultés.
En mai 1996, Apple signe un accord avec IBM, Oracle, Netscape et Sun pour définir les spécifications d'une nouvelle génération de produits, les " Network Computers ", terminaux spécifiquement conçus pour fonctionner avec l'internet. En décembre de la même année, Apple rachète Next, la société de Steve Jobs, qui fait du même coup son retour au sein du conseil d'administration de la compagnie.
En janvier dernier, la société commence à développer Rhapsody, le futur système d'exploitation d'Apple basé sur les apports technologiques de Next. En mars, Larry Elli son, Pdg d'Oracle, propose de racheter Apple pour en faire un constructeur de Network Computers.
Une société sans Pdg
L'ancien Pdg d'Apple, Gil Amelio, a été évincé le 10 juillet, pour ne pas avoir su remettre Apple sur la voie de la croissance en dépit de deux restructurations et du départ de 40% du personnel. Le groupe n'a, à l'heure actuelle, toujours pas de Pdg.


Presse-Océan août 1997

Apple se laisse croquer par Microsoft pour survivre
L'alliance scellée mercredi avec sa rivale Apple profite essentiellement à Microsoft.
Pour la firme de Bill Gates, dont la puissance financière est colossale, il s'agit d'un investissement modeste pour un rendement maximum.
SEATTLE.-Moyennant l'acquisition pour 150 millions de dollars 1945 millions de F) de 6,5 % du capital d'Apple, la firme de Bill Gaies, Microsoft, le numéro un mondial du logiciel, s'est engagé mercredi à lui vendre pendant cinq ans chacune des nouvelles versions de son logiciel Microsoft Office. En résumé, les environnements Windows et Apple, opposés depuis toujours, tendront désormais à se rapprocher. En contrepartie, Apple va équiper ses Macintosh du logiciel de navigation de Microsoft, Internet Explorer.

Même si les systèmes d'exploitation de Microsoft font fonctionner 90% des micro-ordinateurs dans le monde, le groupe de Bill Gaies a toujours considéré les clients d'Apple comme un débouché important pour ses logiciels. Du reste, Microsoft Office équipe déjà huit millions de Macintosh. Un commerce faible en comparaison avec les 65 millions d'utilisateurs de ce logiciel à travers le monde, mais lucratif.
" Microsoft a toujours gagné de l'argent grâce à Apple ", souligne Mark Specker, directeur de la recherche du groupe Soundview. Au fond, cet accord représente une opportunité de vendre plus d'exemplaires de Microsoft Office, un logiciel sur lequel ils font de bonnes marges. "
Plus qu'une entente commerciale
Mais cet accord représente bien plus qu'une simple entente commerciale. Car le concurrent potentiel de Microsoft n'est plus Apple, mais les entreprises qui offrent des solutions pour naviguer sur Internet. En outre, le groupe de Seattle a besoin de conserver quelques concurrents pour ne pas se retrouver en situation de monopole.
" Microsoft souhaite préserver Apple comme une alternative à ses produits, peut-être parce que Apple ne présente aucun danger pour lui-même ~~, explique Rick Sherlund, analyste spécialiste du secteur à la banque d'affaires Goldman Sachs. Mais il y a d'autres concurrents qui pointent le bout de leur nez et qui sont bien plus dangereux.
En misant sur les networks computers., des terminaux spécifiquement conçus pour fonctionner avec Internet, Sun Microsystems, Netscape et Oracle se sont affirmés comme les grands rivaux de Microsoft. Les trois sociétés utilisent Java, un langage informatique qui permet à des logiciels de s'adapter à différents systèmes d'exploitation. Téléchargeable à la demande sur un netvvork computers, Java permet aux utilisateurs de se passer des systèmes d'exploitation traditionnels. Dans ce contexte, le fait que les utilisateurs de Macintosh puissent désormais passer par un logiciel Microsoft pour accéder à Interner constitue une victoire pour l'empire de Bill Gates.
Mais Microsoft n'en restera pas là. La prochaine version d'Internet Explorer, actuellement en phase d'essai, sera compatible avec le langage Java. Selon Greg Maffei, le directeur financier de Microsoft, Internet Explorer 4.0 sera commercialisé à la fin de l'année, en même temps que la nouvelle version de Microsoft Office. Les bonnes affaires de Microsoft ne semblent pas près de se terminer.
La crainte de licenciements
Au cours des sept trimestres écoulés, Apple a perdu 1,7 milliard de dollars (environ 9,5 milliards de F). Son chiffre d'affaires, de 11 milliards (55 milliards de F) en 1995, a fondu à 7 milliards 140 milliards).en 1997. Les Macintosh, qui ont représenté au plus fort de leur histoire jusqu'à 14 % des micro-ordinateurs vendus dans le monde, ont vu leur part de marché reculer à moins de 4 %.
Steve Jobs a affirmé mercredi que le groupe, qui a déjà réduit sa gamme de produits sous le précédent PDG, allait abandonner tout ce qui n'est pas lié à deux marchés essentiels, celui de la création graphique (édition, publicité) et celui de l'enseignement.
L'arrivée d'un certain M. York au conseil d'administration, complètement remanié, inquiète cependant les salariés d'Apple, qui craignent de nouveaux licenciements.


Les Échos septembre 1999


Steve Jobs célèbre à Paris la " résurrection " d'Apple
Devant plus de 4.300 fidèles réunis au Palais des Sports de Paris, Steve Jobs, cofondateur et PDG - toujours par intérim - d'Apple, a fait salle comble hier à l'occasion de l'ouverture de la version 1999 d'Apple Expo. Bravant le déluge, les fans venus chercher réconfort dans leur foi inébranlable en la firme à l'emblème de la pomme n'ont pas été déçus. Après avoir brossé un rapide tableau du redressement de l'entreprise, destiné à faire oublier sa descente aux Enfers des années 1996 et 1997, son PDG a souligné que sa société venait d'enregistrer son septième trimestre bénéficiaire consécutif et disposait d'une situation financière assainie avec plus de 3 milliards de dollars de liquidités.
Mais c'est sur les terrains de la technologie et des produits que le patron d'Apple a porté l'essentiel de son intervention avec force démonstrations. Outre ses deux nouveaux chevaux de bataille que sont le puissant ordinateur professionnel Power Macintosh G4 et le portable grand public iBook, le président d'Apple a mis l'accent sur de nouveaux logiciels tels que QuikTime TV, développé conjointement avec Akamai Technologies et permettant la diffusion et la réception des programmes de télévision sur Internet, ou encore le nouveau système d'exploitation MacOS9, doté de fonctionnalités destinées à faciliter la navigation et la recherche d'information sur le Web. Autrefois diabolisé comme l'un des principaux partisans de l'architecture dominante Wintel (Microsoft-Intel), IBM a même fait son retour en grâce auprès d'Apple avec la présentation de son logiciel de reconnaissance vocale ViaVoice destiné à la plateforme Macintosh. Un produit destiné à " instaurer une interactivité homme-machine trés naturelle " mais ayant encore quelques difficultés à saisir certaines subtilités du langage parlé.
Une clientèle ciblée
Mais l'œcuménisme a ses limites et_ tout comme le discours de son PDG, la gamme Apple -fruit dune "o stratégie produit très simple " de l'aveu même de son PDG - s'adresse toujours en priorité à une clientèle ciblée de professionnels -notamment dans les métiers des arts graphiques - sensibles à des performances technologiques reconnues ainsi qu'à une frange du grand public et des scolaires séduite par leur simplicité d'utilisation et surtout viscéralement " anti-Wintel ". Au-delà du renouveau esthétique apporté par des machines aux formes galbées et aux couleurs acidulées qui ne passent pas inaperçues, les produits de la firme californienne mettent par ailleurs à la portée du grand public des technologies relativement sophistiquées telles que le réseau local sans fil AirPort, développé en coopération avec Lucent Technologies.
Après avoir affiché un quasi-doublement de ses bénéfices (203 millions de dollars) au cours de son troisième trimestre fiscal, Apple est parvenu à enrayer la chute de ses ventes et à renouer avec la croissance. La firme pourrait bientôt, si le succès se confirme, renouer avec le niveau de son chiffre d'affaires de 1995, où la société avait frôlé les 6 milliards de dollars. contre 3,3 milliards seulement l'an dernier. C'est. semble-t-il, l'opinion des milieux financiers qui saluent le redressement de la firme dont le cours de l'action (77 dollars hier à Wall Street) a quasiment doublé depuis un an.
RÉGIS MARTI


Le Figaro septembre 2000


Design : une arme efficace de reconquête
Faire des ordinateurs différents dans leur conception, mais aussi dans leur apparence extérieure est le leitmotiv de Steve Jobs, qui considère le design comme un élément stratégique pour la reconquête des parts de marché. Apple possède en effet une solide tradition d'innovations, à commencer par le Maclntosh lancé en 1984, dont la forme intégrée et verticale contrastait avec celle des PC. Cette tendance a pris une nouvelle ampleur avec les iMac commercialisés -voici deux ans, qui se présentaient comme les premiers micros aux couleurs chatoyantes. " Le problème n'est plus de savoir si nos ordinateurs sont puissants, mais de choisir leur couleur ",expliquait récemment Steve Jobs, faisant le parallèle avec les produits électroménagers ou les voitures qui intègrent eux aussi depuis peu des couleurs vives. " L'iMac est un produit de plaisir, aux formes arrondies et féminines que l'on aime toucher et gui rassure. On est à l'opposé du monde froid et impersonnel des PC ", explique Patrice David, responsable marketing produits chez Apple France. Un soin tout particulier a ainsi été apporté au boîtier de l'ordinateur : la couleur noyée dans le plastique en polycarbonate assure à l'Mac une certaine transparence qui a nécessité de nouveaux procédés de fabrication, protégés par plusieurs brevets. Les teintes ont été mises au point avec un fabricant de bonbons et ont intentionnellement été baptisées du nom de fruits
strawberry, lime, tangerine, etc. D'ailleurs, chez Apple on ne parle plus de la couleur d'un micro, mais de son parfum.
Le tout dernier micro, le Cube de couleur < neige ", se différencie également de ses concurrents : audelà de sa forme compacte - un cube de 20 cm de côté -, il est le premier micro-ordinateur sans ventilateur, utilisant une technique de refroidissement par un système d'aération en forme de cheminée.
Ces résultats sont le fruit du travail de l'équipe de design conduite par Jonathan Ive, un Britannique de 33 ans qui avait débuté comme créatif dans le cabinet de design Tangerine, basé à Londres, avant d'intégrer Apple où il a eu carte blanche pour mener ses travaux. Le PDG du groupe a anticipé que certains particuliers - mais également des utilisateurs professionnels -souhaitaient que l'ordinateur s'intègre harmonieusement dans leur environnement..
A l'instar de Hewlett-Packard, Compaq ou Packard Bell, les fabricants de PC commencent d'ailleurs à prendre la mesure de ce changement culturel et se mettent timidement à, proposer des appareils colorés.


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QUESTIONS :

1. Faire un bref historique d'Apple.
2. Présentez le marché d'Apple.
3. Quelle était la stratégie d'Apple avant ses difficultés -
4. Quelles étaient les raisons des difficultés d'Apple -
5. Comment Apple à solutionner ses difficultés - Quels sont les résultats obtenus -

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COMPLÉMENT :

Vous rechercherez sur internet les informations économiques concernant l'iPod d'Apple, type de marché, les concurrents, les clients, la position d'Apple etc.

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