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L'équilibre emplois-ressources


Les comptes de la Nation en 2007
http://www.insee.fr/fr/themes/theme.asp?theme=16&sous_theme=1

  Évolution en volume 2007
aux prix de l'année précédente
en %
2005 2006 2007 Prix Milliards Contributions
évolution en % d'euros à la croissance
    du PIB
Produit intérieur brut (PIB) 1,9 2,2 2,2 2,5 1 892,2 2,2
Importations 5,9 6,1 5,5 0,6 538,3 -1,5
             
Total des emplois finals 2,7 3 2,9 2 2 430,5 3,7
Consommation effective des ménages 2,4 2,1 2,3 2,1 1 359,3 1,6
dont : dépense de consommation            
  - des ménages 2,6 2,3 2,5 2 1 047,4 1,4
  - individualisable des administrations 1,6 1,5 1,7 2,4 287,3 0,3
Consommation effective des administrations publiques 0,5 1 0,7 1,9 150,7 0,1
Formation brute de capital fixe dont : 4,4 4,8 4,9 3 406,3 1
  - des entreprises non financières 3,7 4,9 7,4 2,5 212,2 0,8
  - des ménages 5,9 7,1 3 3,5 114,2 0,2
  - des administrations publiques 6,9 -2,3 1,8 4,2 61,8 0,1
Variation de stocks (contribution à la croissance) (*) 0 -0,1 0,1 - 11,3 0,1
Exportations 3,1 5,4 3,1 0,5 501,9 0,8

Source : Insee, Comptes nationaux - Base 2000.
(*) y compris les acquisitions moins cessions d'objets de valeur

Équilibre emplois - ressources
avec quelques arrondis

PIB + M = C + I + X + Var. Stocks

PIB  = 1892  
M  = 538  
C  = 1359,3 + 150,7 = 1510
I  = 406,5  
X  = 502  
Var. Stocks  = 11,5  

  1892 + 538 = 1510 + 406,5 + 502 + 11,5

2430 = 2430

La progression de l'activité se maintient

En 2007, le produit intérieur brut augmente en moyenne annuelle de 2,2 %, comme en 2006 et après une croissance de + 1,9 % en 2005. Corrigée du nombre de jours ouvrables, l'activité marque toutefois une légère décélération d'une année sur l'autre : elle progresse de + 2,1 % après + 2,4 % en 2006. La demande intérieure demeure le moteur de la croissance française : la consommation reste robuste et l'investissement dynamique. En revanche, le ralentissement des exportations pèse sur la croissance tandis que les importations sont relativement dynamiques. Le pouvoir d'achat des ménages gagne de la vigueur et leur taux d'épargne progresse. Le taux de marge des sociétés non financières augmente modérément. L'activité des sociétés financières se replie. Le taux de prélèvements obligatoires baisse sensiblement et le déficit public s'accroît.

 


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